Allongée de tout mon long, impossible de bouger.
Les antidouleurs m’embrouillent l’esprit.
Trouver la position la moins douloureuse.
Comme si mon corps me disait
« ça suffit ! Tu ne peux pas te fiche la paix.
Tu n’y parviens pas.
Je te l’ordonne.
Allonge-toi. Repose-toi.
Moi seul déciderai du moment
où tu pourras repartir t’agiter. »
Patience obligatoire.